Je ne prive jamais du plaisir de retrouver les établissements où j’ai appris ou enseigné pour un temps, toujours précieux indépendamment de sa durée. Depuis l’école primaire mixte de Lamta qui m’a accueilli à cinq ans, après que l’école de Sayada m’a refusé pour insuffisance d’âge, jusqu’à l’Institut Supérieur des Sciences Humaines de Tunis et sa famille plus large de l’Université Tunis El Manar où le titre de Professeur émérite m’empêche d’envisager la retraite comme un retrait. De nombreuses escales sont à nommer pour traduire le parcours toujours encore : le Lycée de Garçons de Monastir à deux reprises, en tant qu’élève et en tant qu’enseignant ; la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de Tunis à deux reprises, en tant qu’étudiant et en tant que vacataire ; Le Lycée mixte de Medjez El Bab à deux reprises, en tant qu’enseignant ; l’Université de Bordeaux III, en tant qu’étudiant ; l’Université de Paris XIII, en tant qu’étudiant ; l’Ecole Normale Supérieure de Sousse, en tant que vacataire ; la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de Kairouan, en tant qu’enseignant ; le Faculté des Lettres et Sciences Humaines de Sousse, en tant qu’enseignant dans l’équipe fondatrice de 1989 et en tant que directeur fondateur de son département de français une année plus tard ; l’Institut Supérieur des Langues Appliquées aux Affaires et au Tourisme de Moknine, en tant que Premier Directeur ; l’Institut Supérieur de l’Éducation et de la Formation Continue (ISEFC), en tant que vacataire ; l’Institut Supérieur des Sciences Humaines de Tunis (Université Tunis El Manar).
Cette semaine, je reviens encore à l’Institut Supérieur des Langues de Moknine, avec le même plaisir qu’à chaque fois, pour donner, le mercredi 18 octobre à 10 heures, une conférence intitulée « Littérature et traversées de la Méditerranée ».
Heureux d’y retrouver les intéresser et de retrouver, à l’occasion, plusieurs collègues et amis des deux genres.